Le Vénérable Abbé Michael J. McGivney
L'Honoris...
un endroit pour honorer un, un endroit de prière pour tous.

Podcast

Le Bienheureux Père Michael J McGivney, du Président Comité Honoris...Michael O'Neill.

Under One Roof Campaign

Update - Under One Roof Campaign

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Qu'est-ce que c'est?

C'est un centre pour faire la promotion de la cause de notre Bienheureux fondateur, l'abbé McGivney - non seulement pour l'ordre des Chevalier de Colomb mais aussi pour les fidèles en général. On ne peu pas appeler ça un sanctuaire, c'est pour cette raison qu'on se sert du mot latin, Honoris.

Cela veut dire quoi?

Le Honoris est pour sensibiliser les chevaliers ainsi que le public en général sur la vie et les bonnes ouevres du fondateur abbé McGivney et promouvoir une dévotion toute spécial pour aider la cause du révérend abbé.



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Depuis le 1er mai 2018, toutes les personnes décédées, et les futurs décédés qui sont inscrites sur notre page "Prière en mémoire" feront partis des intentions de messes journalières des Pères du Précieux Sang. Le coût pour cette activité vient de vos dons. C'est notre façon de vous témoigner notre appréciation pour vos prières et votre support.

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Béatification

Nous sommes heureux que le Pape François a approuvé la béatification de notre fondateur le père Michael J. McGivney. C’est arrivé le 31 octobre 2020.

Sentez vous bien à l’aise de lire davantage sur la vie et l’époque de ce bel exemple d’un prêtre de paroisse.

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Origines

L’àbbé Michael McGivney est né a Waterbury le 12 août 1852. Ses parents, Patrick et Mary (Lynch) McGivney, ont débarqué aux États-Unis suite à la grande vague d’immigration irlandaise du 19e siècle.

Mary McGivney a donné naissance à 13 enfants; six sont morts en bas âge. C’est pourquoi l’aîné, Michael, avec quatre soeurs et deux frères survivants, a dû très vite apprendre à composer avec le chagrin et la rude étreinte de la misère. Il a aussi été à même de prendre conscience des pouvoirs que représentent l’amour, la foi et la force morale qui soudent une famille.

Éducation

Michael McGivney a fréquenté les écoles de la classe ouvrière de Waterbury. Bon élève, son directeur d’école l’admirait pour son excellente tenue et ses succès dans ses études.

Il quitte l’école à l’âge de 13 ans pour aller travailler. Son emploi dans le département de la fabrication des cuillers d’une usine de cuivre apporte alors un peu plus d’argent au moulin familial. Lorsqu’il atteint 16 ans, en 1868, il quitte l’usine. Avec l’objectif d’accéder à la prêtrise, il voyage aux côtés du pasteur de Waterbury jusqu’au Québec, au Canada. Inscrit au collège de Sainte-Hyacinthe, il travaille fort sur des matières qui vont le préparer au séminaire.

Deux années universitaires ont suivi, au séminaire Notre-Dame-des-Anges, affilié à l’université Niagara de Niagara Falls, dans l’état de New York. Le jeune McGivney déménage ensuite à Montréal comme séminariste au Collège Sainte-Marie, une institution jésuite.

Prêtrise

Il est à Montréal lorsque son abbé meurt, en juin 1873. À court d’argent et inquiet du sort de sa famille, il retourne aux États-Unis pour les funérailles, restant un moment à Waterbury. Puis, à la demande de l’évêque de Hartford, il entre au séminaire St. Mary à Baltimore, au Maryland. Après quatre ans d’études, le 22 décembre 1877, il est ordonné prêtre dans l’historique cathédrale de l’Assomption, à Baltimore, par l’archevêque (nommé plus tard cardinal James Gibbons).

L’abbé McGivney commence son ministère le jour de Noël 1877, en tant que vicaire à l’église St. Mary, de New Haven- la première paroisse de la ville. Une nouvelle église de pierre fut construite dans une plus belles rues résidentielles. Alors, le ministère écclésiastique du l’abbé McGivney se débuta à New Haven avec tension et une attitude de défense parmi la classe ouvrière des familles irlandaises qu’il servait.

L’histoire des Chevaliers de Colomb

En 1881, il commença à explorer avec differents laïcs la possibilité de fonder une société de beinfaisance, catholique et fraternelle. À une époque où les clubs paroissiaux et les sociétés fraternelles avaient beaucoup d’attraits, le jeune religieux pensa qu’il y avait moyen d’oeuvrer à la fois à l’affermissement de la foi et au soulagement des familles pauvres, décimées par la maladie ou la mort de celui qui assurait le gagne-pain.

Il fait part de son concept à l’évêque Lawrence McMahon, de Hartford, qui l’approuve. Il se rend jusqu’à Boston, au Massachusetts, pour discuter avec des représentants du “Catholic Order of Foresters” (société de secours mutuels); puis il voyage jusqu’à Brooklyn pour consulter la Légion de bienfaisance catholique. Il rencontre aussi d’autres prêtres de son diocèse. Partout où il le peut, il recueille l’information qui aiderait les laïcs catholiques à s’organiser en société de secours mutuels.

Fondateur

William Geary, un des membres fondateurs de l’Ordre, a dit qu’à la première réunion de conseil, en 1882, l’abbé McGivney “a été acclamé en tant que fondateur par 24 hommes aux coeurs remplis de joie et de gratitude. Ces derniers reconnaissaient que sans son optimisme, sa volonté de réussir, ses conseils et ses opinions, ils n’auraient jamais réussi.”

L’abbé McGivney suggéra d’abord le nom “Fils de Colomb” pour baptiser l’Ordre. Il voyait là une façon de lier le catholicisme à l’américanisme, à travers la foi et la vision audacieuse du découvreur du Nouveau Monde. Le mot “chevaliers” remplaça “fils” parce que les membres-clés du groupe organisé, des Irlandais de naissance vétérans de la Guerre civile, estimaient que cela aiderait à mettre en valeur un rituel noble, en guise de soutien à la nouvelle cause de la liberté civile catholique.

Charte

Le 29 mars de la même année, la législature du Connecticut octroie une charte aux Chevaliers de Colomb, établissant ainsi formellement qu’il s’agit d’une corporation légale. Les principes de l’Order, en 1882, sont “Unité et Charité”. “Fraternité” et “Patriotisme” furent par la suite ajoutés.

En avril 1882, l’abbé McGivney, avec la permission de l’évêque McMahon écrit à tous les pasteurs du diocèse de Hartford. L’objectif premier de l’Ordre, écrit-il, est de dissuader les catholiques de joindre des sociétés secrètes en leur offrant de meilleurs avantages en cas de décès ou de maladie. Il insiste auprès de chacun pour qu’ils exercent leur influence “afin de favoriser la formation d’un conseil dans votre paroisse.” L’abbé McGivney installe lui-même les premiers officiers du conseil no 1 San Salvador, à New Haven, en mai 1882.

Décès

De santé plutôt frêle, l’abbé McGivney est soudainement atteint d’une sérieuse pneumonie en janvier 1890. La maladie persiste. Divers traitements sont essayés, mais en vain: son état se détériore. Le jeune prêtre perd sa vivacité physique au moment même où l’Ordre qu’il a fondé connaît une vitalité nouvelle.

Le 14 août 1890, l’abbé McGivney meurt à l’âge de 38 ans. En treize courtes mais intenses années comme prêtre, la piété et la compassion de l’abbé McGivney ont gagné l’amour de ceux qu’il servait en tant que Pasteur et vicaire.

Lancement

Ayant connu une croissance remarquable depuis leurs débuts modestes dans un sous-sol d’église, les Chevaliers de Columb allient aujourd’hui le fraternalisme catholique à l’une des plus dynamiques compagnies d’assurance des États-Unis. Les quatre tours de l’édifice abritant les quartiers généraux de l’organisation symbolisent l’engagement pris par l’Ordre de promouvoir la charité, l’unité, la fraternité et le patriotisme à travers le monde. Plus de 13,000 conseils fraternels sont actifs dans pas moins de 13 pays.

À l’église St. Mary, à New Haven, le brilliant sarcopohage en granit de l’abbé McGivney, abrité au sein d’une église complètement rénovée, est maintenant devenu un lieu de pèlerinage pour les Chevaliers qui visitent l’endroit où tout a commencé.